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Qu’est-ce que l’incivilité et le harcèlement psychologique?

Le harcèlement psychologique (ou moral) peut prendre différentes formes. Qu’il s’agisse de harcèlement en milieu de travail, d’étude ou de prestation de services ou de harcèlement psychologique, discriminatoire ou sexuel, savoir reconnaître les comportements et les gestes qui en relèvent contribue à le prévenir, à le contrer et à le faire cesser.

Définition

Harcèlement psychologique

Conduite vexatoire se manifestant par des comportements, des paroles, des actes ou des gestes répétés, qui sont hostiles ou non désirés. Elle porte atteinte à la dignité ou à l’intégrité psychologique ou physique d’une personne et entraîne, pour celle-ci, un milieu de travail, d’étude ou de prestation de services néfaste. Une seule conduite grave peut aussi constituer du harcèlement, si elle porte une telle atteinte et produit un effet nocif continu pour la personne.

Incivilité

Comportement qui est en violation des normes de respect mutuel établies dans le milieu de travail ou d’étude. L’incivilité est un manquement aux règles élémentaires de vie en société, aux règles de civisme et aux valeurs organisationnelles d’humanisme, d’excellence, d’innovation et de collaboration à l’Université qui crée un inconfort important dans le milieu de travail ou d’étude et a des conséquences négatives sur le moral des personnes, l’efficacité, la productivité, la motivation et le climat de travail ou d’étude.

Les manifestations du harcèlement

Les conduites qui suivent résument différentes formes que peut prendre le harcèlement psychologique.

L'intimidation (bullying) se manifeste par des conduites qui visent à discréditer une personne au moyen de fausses allégations et d’actes répréhensibles, voire criminels, et qui provoquent chez elle une importante perte de confiance en soi et envers les autres.  

Le harcèlement de groupe (mobbing) se caractérise par une persécution, une guerre des nerfs ou d’usure, une attitude négative de plusieurs personnes envers une autre personne dans le but de l'isoler, de l'insulter, de la dévaloriser ou de lui nuire. 

Le musellement vise à empêcher une personne de s'exprimer. Il peut prendre les formes suivantes:

  • lui couper constamment la parole
  • ridiculiser ses propos
  • lui refuser le droit de faire entendre son point de vue
  • ignorer sa présence
  • l’écarter délibérément des rencontres qui la concernent

L'isolement vise à couper une personne de son milieu, à la confiner. Il peut prendre les formes suivantes:

  • ne plus lui parler
  • lui interdire de nous adresser la parole
  • lui attribuer un poste de travail qui l’éloigne et l’isole de ses collègues
  • interdire à ses collègues de lui adresser la parole
  • nier sa présence physique
  • ne plus lui donner de travail ou de tâches
  • refuser toute communication avec elle, que ce soit en personne, par téléphone ou par courrier électronique

L'humiliation vise à insulter une personne. Elle peut prendre les formes suivantes:

  • la déconsidérer auprès de ses collègues
  • lancer des rumeurs à son sujet
  • prétendre qu’elle est malade mentale
  • imiter sa démarche, sa voix ou ses gestes pour mieux la ridiculiser
  • se moquer de ses origines, de sa nationalité
  • la contraindre à un travail humiliant
  • médire d’elle ou la calomnier
  • lui attribuer des intentions qu’elle n’a pas ou des fautes qu’elle n’a pas commises
  • porter atteinte à sa réputation

Le discrédit vise à affecter défavorablement la réputation, le prestige, l'influence d'une personne. Elle peut prendre les formes suivantes:

  • ne plus lui confier de travail ou de tâches
  • la pousser à la faute en lui demandant une chose et son contraire
  • lui imposer des délais irréalistes pour exécuter un travail
  • la placer dans des situations de surcharge et d’adaptation permanentes
  • critiquer systématiquement tout ce qu'elle fait sans raison valable
  • lui confier des tâches nettement en dessous de ses qualifications, ingrates ou inutiles
  • tenter de démontrer qu’elle est incompétente
  • lui imposer des exigences anormalement élevées par rapport à ses compétences 

La menace à la santé vise à compromettre la santé physique ou psychologique de la personne. Elle peut prendre les formes suivantes:

  • la contraindre à des travaux dangereux ou nuisibles à sa santé
  • la menacer de violences physiques
  • l’agresser physiquement
  • la terroriser par des appels téléphoniques
  • la menacer par des messages anonymes avec l'intention de lui nuire ou de porter atteinte à son sentiment de sécurité personnelle ou à sa dignité 

L’abus de pouvoir se caractérise par un exercice inapproprié ou abusif de l’autorité et du pouvoir formel ou informel inhérents à un statut, à une fonction ou à un poste pour influencer négativement les conditions de travail ou d'apprentissage d'une autre personne, nuire à son rendement, compromettre son emploi ou ses études, entraver sa carrière ou son cheminement scolaire ou encore s’ingérer dans sa vie personnelle.

Est-ce du harcèlement?

Pour qu’une situation rapportée à l’Université soit reconnue comme étant du harcèlement psychologique, certains critères doivent être présents et observables.

1. Une conduite vexatoire

La conduite vexatoire se manifeste par des comportements, des paroles, des actes ou des gestes de manque de respect qui blessent, contrarient, humilient ou insultent.

2. Une répétition des comportements

En principe, les comportements doivent être répétés pour constituer du harcèlement. Le nombre de répétitions varie toutefois selon la gravité des comportements, des paroles, des actes ou des gestes vexatoires ainsi que l'effet qu'ils ont sur la personne qui les subit.

Nous vous recommandons de demander de l’aide dès qu’il y a 3 ou 4 répétitions de comportements vexatoires. Il est préférable d’agir promptement pour éviter que la situation ne s’aggrave. À défaut d’une action pour y mettre fin, la situation a de fortes chances de continuer et, possiblement, de s’aggraver.

Vrai

Même si la définition courante du harcèlement implique généralement la notion de répétition, un seul comportement ou geste grave peut constituer du harcèlement, notamment s’il porte atteinte à la personne visée ou provoque un effet nocif et continu sur celle-ci (ex.: stress post-traumatique). 

3. Un comportement hostile ou non désiré

Un comportement hostile est adopté dans l'intention de nuire à une personne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire que la personne ait exprimé clairement son désaccord à chaque comportement, parole, acte ou geste posé pour conclure qu'il n'était pas désiré.

Dans le cas d'un geste non désiré, l'intention de nuire n'est pas nécessairement présente. Il devient de la responsabilité de la personne qui subit ce comportement de manifester son désaccord et de demander à l’autrice ou l'auteur de cesser. Elle peut, au besoin, se faire accompagner par une personne de confiance ou une ressource spécialisée.

4. Des conséquences chez la victime

La conduite vexatoire porte habituellement atteinte à la dignité ou à l'intégrité psychologique ou physique de la victime. Une diminution du sentiment d'estime de soi, une détérioration des fonctions normales du corps humain ou un déséquilibre psychologique ou émotionnel sont habituellement observés dans ces situations.

Selon Cortina, Kabat-Farr, Magley & Nelson (2017), l’incivilité réfère à des attitudes ou des gestes impolis, condescendants et allant à l’encontre des normes de respect établies socialement. Les incivilités sont faciles à détecter: elles correspondent à des comportements qui s’observent concrètement.

D’apparence banale, les incivilités ont le pouvoir de blesser la personne qui en est la cible, de générer chez elle un sentiment de ne pas être considérée ou respectée, ou encore d’être rejetée par ses pairs. Lorsque répétés, les comportements incivils contribuent à la détérioration du climat de travail ou d’étude, qui devient alors teinté de conflits interpersonnels, d’ostracisme ou d’exclusion. De telles situations peuvent mener la victime à dénoncer la situation comme étant du harcèlement psychologique de la part d’une ou d’un collègue en particulier et demander que des actions soient prises pour faire cesser les manifestations d’incivilité.

Font notamment partie des incivilités les gestes et attitudes suivants:

  • Parler en mal de quelqu’un en son absence (parler «dans le dos»)
  • Faire des commentaires négatifs et non constructifs sur une personne ou son travail (dénigrer les compétences, ridiculiser les idées, etc.)
  • Tenir des propos provocateurs et vexatoires (faire des remarques désobligeantes, dire des choses susceptibles de blesser ou de faire réagir vivement, etc.)
  • Négliger le ton adopté lors de ses échanges (hausser la voix, crier, faire usage du sarcasme, mettre les phrases d’un échange écrit en majuscule, etc.)    
  • Omettre de tenir compte du tour de parole d’une autre personne (couper la parole, accaparer la discussion, ne pas tenir compte de sa perspective dans l’échange, etc.)
  • Ignorer une personne (cesser de lui adresser la parole, refuser de la saluer, ne pas l’inviter aux activités sociales que l’on organise, bouder, etc.)
  • Ne pas porter attention à une réunion en envoyant des messages textes, des courriels ou en parlant avec une autre personne
  • Faire preuve d’inattention lorsqu’une personne nous parle (consulter son téléphone, quitter l’espace de discussion, etc.)
  • Arriver en retard ou ne pas se présenter à une réunion sans s’excuser
  • Ne pas reconnaître la contribution d’une autre personne (s’attribuer le crédit d’une idée, prendre tout le crédit pour un travail réalisé en équipe, etc.)
  • Refuser de contribuer au règlement d’un malentendu ou d’un conflit (être sur la défensive, attribuer l’ensemble des fautes à l’autre, refuser de préciser ce que l’on a contre une personne, etc.)
  • Laisser les espaces communs sales et en désordre
  • Gêner la concentration des autres (faire du bruit, adopter des comportements dérangeants, etc.)

Qu’il y ait dénonciation ou non, les incivilités affectent la confiance en soi de la personne visée et ne doivent pas être tolérées.

Il est important de distinguer l’exercice normal du droit de gérance du harcèlement psychologique. Le fait d’imposer une mesure disciplinaire ou de faire une évaluation de rendement négative peut parfois vexer la personne qui les reçoit, mais cela ne constitue pas nécessairement du harcèlement psychologique.

Le droit de gérance se définit comme le droit de l’employeur de diriger ses employées et employés et de prendre des décisions liées à la réalisation de la mission de l’organisation et dans l’intérêt et la bonne marche de ses affaires. Il comprend, par exemple:

  • la définition et l’attribution des tâches
  • la gestion courante du rendement au travail
  • la gestion de l’assiduité et de l’absentéisme
  • la gestion de la discipline
  • l’application de sanctions disciplinaires, verbales ou écrites
  • le licenciement, la mise à pied et le congédiement

Les décisions de gestion doivent être justifiées et:

  • en lien avec le bon fonctionnement de l’établissement
  • équitables compte tenu des circonstances

De plus, pour une même situation, tout employeur raisonnable et compétent agirait de la même façon. Ainsi:

  • la gradation des sanctions disciplinaires est appliquée (verbales et écrites)
  • la sanction est proportionnelle à la faute reprochée
  • les moyens et les délais accordés au salarié pour qu’il puisse corriger ses comportements ou la situation sont raisonnables

Il pourrait y avoir présence de harcèlement si la personne en autorité agit de façon abusive, déraisonnable, arbitraire ou discriminatoire.

La relation d’encadrement aux cycles supérieurs implique une relation entre la personne étudiante et sa direction de recherche pour laquelle:

  • la personne étudiante est considérée comme étant le premier agent de sa formation universitaire
  • la direction de recherche a pour responsabilité de guider les travaux de la personne dirigée de même que d’évaluer son avancement et le respect des exigences du programme.

Il s’agit d’une relation asymétrique qui, dans certains cas, peut mener à des situations d’abus de pouvoir ou de harcèlement.

Une évaluation de rendement universitaire peut s’avérer décevante et vexer la personne évaluée, même si la direction de recherche fait preuve de bienveillance lors de l’échange. En ce sens, les demandes suivantes ne constituent pas du harcèlement si elles sont soutenues par les exigences du programme de l’étudiante ou de l’étudiant:

  • atteindre certains objectifs de formation ou de recherche
  • respecter un échéancier de travail
  • apporter des correctifs à des travaux soumis à l’évaluation
  • produire des résultats de recherche supplémentaires
  • contribuer à des publications

En contrepartie, les comportements suivants se rapprochent du harcèlement:

  • exiger un investissement démesuré de la part de l’étudiante ou de l’étudiant
  • exiger une présence continue au laboratoire de recherche sans accorder de périodes de repos
  • discréditer à répétition les idées de la personne
  • menacer de retenir une bourse ou un salaire
  • imposer des attentes n’étant pas justifiées par les exigences du programme

Pour éviter un tel dénouement, une collaboration active la personne étudiante et sa direction de recherche est nécessaire, laquelle peut être amorcée par la mise sur papier d’un plan de collaboration (PDF) qui engage les deux parties.

Vous avez de la difficulté à déterminer si la situation que vous vivez constitue du harcèlement? N’hésitez pas à nous contacter; nous pourrons analyser la situation avec vous.

Les conséquences du harcèlement

Les conséquences du harcèlement psychologique sont parfois vécues uniquement par la victime, mais peuvent également affecter les personnes qui en sont témoins et avoir des effets sur le milieu de travail, d’étude ou de recherche de même que sur l’organisation dans son ensemble. 

Les personnes exposées à du harcèlement psychologique subissent souvent plusieurs conséquences psychologiques et physiques. Dans certains cas, les symptômes ressentis perdurent une fois que la situation de harcèlement a cessé.

Conséquences sur la santé physique

  • Troubles du sommeil ou fatigue chronique
  • Troubles musculo-squelettiques (ex.: maux de dos, céphalées ou troubles gastriques)
  • Maladies cardiovasculaires

Conséquences sur la santé mentale

  • Dépression
  • Détresse psychologique (ex.: abattement, irritabilité, anxiété, vertiges, nausées, perte de confiance et d’estime de soi)
  • Syndrome de stress post-traumatique, (ex.: troubles de mémoire, palpitations cardiaques, tremblements, frissons ou transpiration excessive), hypervigilance
  • Idées suicidaires, isolement, désespoir
  • Perception négative de l’état de santé
  • Abus de drogues ou d’alcool

Les personnes témoins de conduites vexatoires ou de comportements de la nature du harcèlement peuvent également faire l’expérience de conséquences négatives, même si elles ne sont pas la cible des gestes ou des paroles néfastes. Les conséquences suivantes ont été répertoriées par l’Institut national de santé publique du Québec:

  • perte de motivation au travail ou de productivité
  • déni, auto-accusation, sentiment de devoir prendre parti
  • présence d’irritants partagés, aggravation du stress
  • multiplication des conflits entre collègues
  • sentiment d’impuissance
  • ressentiments envers le milieu ou l’organisation

Les conduites vexatoires et les comportements de la nature du harcèlement ont des conséquences sur le milieu de travail, d’étude ou de recherche, qui devient néfaste pour la victime. Cette dernière n'a plus envie de s'y retrouver et y éprouve un grand malaise. Les témoins, pour leur part, s’y sentent de moins en moins à l’aise.

Il est donc important d’agir pour freiner et prévenir le harcèlement dans nos milieux afin d’éviter les conséquences suivantes:

  • Augmentation de l’absentéisme
  • Diminution de la productivité
  • Renouvellement des effectifs et recrutement constant
  • Augmentation des coûts de gestion liés à ces enjeux
  • Répercussion sur la réputation, l’image et la compétitivité de l’établissement

Déposer une plainte en matière de harcèlement

Si vous souhaitez rapporter une situation de harcèlement, contactez-nous .

Pour en connaître davantage sur le traitement des situations de harcèlement à l'Université Laval, consultez les sections 6 et 7 du Règlement pour prévenir et contrer le harcèlement à l’Université Laval.

Vos responsabilités à l’Université Laval

Pour connaître vos responsabilités au sein de la communauté universitaire, consultez le résumé du Règlement pour prévenir et contrer le harcèlement à l'Université Laval.

Pour approfondir vos connaissances sur le harcèlement psychologique

Ancibure, F. et Galan-Ancibure, M. (2006). Le harcèlement moral. Toulouse. Éditions Milan.

Bilheran, A. (2007). Le harcèlement moral. Paris. Armand Colin.

Bilheran, A. (2009). Harcèlement. Famille, Institution, Entreprise. Paris. Armand Colin.

Bilheran, A. (2010). Tous des harcelés?. Paris. Armand Colin.

Bilheran, A. et Bouyssou, G. (2010). Harcèlement en entreprise. Comprendre, prévenir, agir. Paris. Armand Colin.

Binette, N. (2005). Victime au travail. L’enfer du harcèlement psychologique, Montréal. Les Éditions de l’Homme.

Boudreau, J., Poupart, L., Leroux, K. et Gaudreault, A. (2013). Introduction à l'intervention auprès des victimes d'actes criminels. Montréal. Association québécoise Plaidoyer-Victimes.

Cliche, B., Latulippe, E., Bouchard, F., Veilleux, P. et Royer, I. (2012). Le harcèlement et les lésions psychologiques, 2e édition. Cowansville. Éditions Yvon Blais.

Commission des normes du travail (2014). Harcèlement psychologique au travail. De la prévention à la résolution. Cowansville. Éditions Yvon Blais.

Désaulniers, L.-G. (2015). Les agressions sexuelles et le harcèlement. Connaître, comprendre et agir. Tests et solutions. Montréal. Les Éditions Québec-Livres.

Gbezo, B. E. (2000). Agressivité et violence au travail. Comment y faire face. Issy-les-Moulineaux Cedex. ESF éditeur.

Hirigoyen, M.-F. (1998). Le harcèlement moral: la violence perverse au quotidien. Paris. Syros.

Hirigoyen, M.-F. (2001). Malaise dans le travail. Harcèlement moral. Démêler le vrai du faux. Paris. Syros.

Leclerc, C. et Bourassa, B. (2013). Travail professoral et santé psychologique. Sens et dérives. Centre de recherche et d'intervention sur l'éducation et la vie au travail, Université Laval.

Mussely-Gosselin, S. (2013). Harcèlement psychologique et enjeux relationnels. Comprendre et savoir agir. Cowansville. Éditions Yvon Blais.

Nguyen, C. et al. (2021). Santé psychologique au travail et COVID-19. Louvain-la-Neuve. De Boeck Supérieur.

Poirier, G. et Rivest, R.L., avec la collaboration de Fréchette H. (2004). Les nouvelles normes de protection en cas de harcèlement psychologique au travail: une approche moderne. Cowansville. Éditions Yvon Blais.

Saint-Laurent, M. (2010). Le «bitchage». Guide de survie. Montréal. Béliveau Éditeur.

Comité interministériel sur la prévention du harcèlement psychologique et le soutien aux victimes. (2003). Une stratégie de prévention du harcèlement psychologique au travail et de soutien aux victimes . Québec. Ministère du Travail.

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Legros, J. (2004). Quand le travail donne les bleus au cœur! Intervention centrée sur la résilience et le pouvoir d’agir des personnes qui vivent de la violence psychologique au travail . Québec. Université Laval.

Le webinaire Comprendre le harcèlement discriminatoire en milieu de travail pour mieux le prévenir de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse

Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (harcèlement au travail)

Éducaloi (harcèlement psychologique au travail)

Ministère de la Famille (intimidation)

Références utilisées dans cette page

Bueno Mendonça, J. Incivilité au travail : qu’est-ce que c’est?. Carrefour RH. https://carrefourrh.org/ressources/science-rh/articles/2020/04/incivilite-au-travail-passerelle-violences

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Institut national de santé publique du Québec. Harcèlement psychologique au travail